Entre 40 et 50 ans advient quelquechose d'intéressant, une forme d'accession à la propriété assez spéciale, basée sur le seul apport personnel. On s'habite soi-même, on devient sa propre maison, dont les pièces sont autant d'histoires, séparées par de longs couloirs. Ca n'empêche pas de monter sur le toit pour observer l'horizon ni de sortir dehors et d'aimer ce lierre qui court sur la façade comme la littérature sur les murs du temps...
Jean-Marc Parisis
Un magnifique article dans Le Figaro Magazine